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Erdogan réaffirme son soutien au Liban lors d'un entretien avec le président libanais
Lors d'un entretien téléphonique avec le président libanais Joseph Aoun, Recep Tayyip Erdogan a affirmé que la Turquie soutenait les mécanismes internationaux garantissant la sécurité du Liban.
Erdogan réaffirme son soutien au Liban lors d'un entretien avec le président libanais
Erdogan réaffirme son soutien au Liban lors d'un entretien avec le président libanais / AA
il y a 18 heures

Le président turc et son homologue libanais, Joseph Aoun, ont discuté mardi des relations bilatérales et des questions régionales lors d’un entretien téléphonique.

Au cours de leur appel, M. Erdogan a souligné le soutien constant de la Turquie à la stabilité et à la souveraineté du Liban, selon un communiqué de la Direction de la communication de la Turquie.

Il a également noté que les deux pays "présentent un potentiel important dans les domaines du commerce et de l'investissement".

M. Erdogan a exprimé la volonté d'Ankara de contribuer aux mécanismes internationaux visant à renforcer la sécurité du Liban.

Il a par ailleurs indiqué que la Turquie attendait du Liban une position protégeant les droits et les intérêts des Chypriotes turcs.

Concernant l'évolution de la situation régionale, M. Erdogan a réaffirmé l'engagement de son pays à soutenir les transformations positives en Syrie susceptibles de contribuer à une stabilité régionale plus large.

"L’attitude agressive d’Israël"

Il a également souligné l’opposition de la Turquie à "l’attitude agressive d’Israël envers le Liban", précise le communiqué.

Israël et le Liban ont conclu un cessez-le-feu en novembre 2024 après plus d’un an d’attaques transfrontalières dans le contexte de la guerre à Gaza. Plus de 4 000 personnes ont été tuées et 17 000 autres blessées au Liban lors des attaques israéliennes sur le pays. 

Aux termes du cessez-le-feu, les forces israéliennes étaient censées évacuer le sud du Liban en janvier, mais elles ne se sont retirées que partiellement, maintenant une présence militaire à cinq postes frontières.

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SOURCE:TRT français et agences